CHAQUE MOIS NOUS ANALYSONS TROIS OU QUATRE IDÉES REÇUES SUR VOTRE SIGNE ASTROLOGIQUE. LES « ON DIT » SONT PASSÉS À LA MOULINETTE ET NOUS VOUS DONNONS DES CLÉS POUR VIVRE AVEC CE QUE LES AUTRES CONSIDÈRENT COMME UN DÉFAUT ET QUI EST PEUT-ÊTRE UN AVANTAGE.
ON DIT QUE :
Vous êtes fuyant
C’est vrai : la plupart de temps ce sont les conflits que vous fuyez parce que vous ne voulez pas prendre parti ou que vous avez peur que cela ne dégénère et que vous détestez toute forme de violence. Mais est-ce vraiment quelque chose qu’on peut vous reprocher, alors que c’est finalement une attitude défensive : elle vous permet de vous protéger et n’est pas dirigée contre les autres, mais elle vous est utile à vous !
Dans l’idéal, vous devriez prévenir votre entourage, dire à ceux que vous rencontrez et avec qui vous pensez lier une amitié ou plus, que vous êtes un non-violent, que ce n’est pas une personne que vous fuyez quand vous vous extrayez d’une situation mais les émotions qu’elle provoque en vous. Peut-être aussi que vous avez grandi dans un milieu conflictuel et c’est typiquement le genre de souvenir inscrit en vous et qui produit aujourd’hui une tendance à la fuite. Donc faites comprendre à vos proches que ce n’est pas eux que vous fuyez.
Vous n’êtes pas très clair
Le signe des Poissons est sous la maîtrise de Neptune, la planète qui gère à la fois l’intuition, la compassion, l’empathie, bref tout ce qui fait de vous une bonne personne. Mais Neptune, tout comme votre signe, est une planète « double ». C’est-à-dire qu’elle peut passer d’une situation calme et sereine, à de fortes tempêtes, qu’elle peut être (et vous aussi) claire et nette quand il s’agit d’aider, de secourir autrui, tout comme elle peut produire des eaux troubles et des remous qui n’agitent pas forcément la surface mais ce qu’il y a en-dessous.
Résultat, à l’image de Neptune, on a du mal à savoir ce qui vous agite intérieurement ; vous avez souvent l’air très calme et serein, alors que ce n’est pas le cas. Les autres sentent que quelque chose cloche mais comme vous ne dites rien, ils ne peuvent pas deviner. Si vous exprimiez clairement ce qui vous tracasse, cela se passerait certainement mieux entre vous et votre entourage.
Vous êtes oublieux
Je ne dis pas que vous n’avez pas de mémoire, au contraire vous pouvez avoir un bon réservoir de souvenirs que vous n’oublierez jamais. En revanche, vous avez souvent la volonté d’oublier ce qu’on vous demande et que vous considérez comme une contrainte. Autant quand vous le décidez par vous-même, vous êtes capable de tout donner et de gérer les situations les plus compliquées, autant quand on vous demande quelque chose, parfois de très banal, il arrive que vous oubliiez ce qu’on vous a demandé.
Tout ce qui ressemble de près ou de loin à une contrainte est finalement sujet à l’oubli, dans la mesure où c’est une forme de défense contre le déplaisir. Plus quelque chose vous déplaît et plus vous aurez tendance à l’oublier. Et il en va de même avec les personnes : quand vous n’aimez plus quelqu’un, il arrive que vous oubliiez jusqu’à son existence. Et si ce quelqu’un vous a fait du mal, c’est plutôt une bonne chose que de l’oublier.
Vous êtes influençable
Oui, vous êtes influençable mais c’est parce que la plupart du temps vous n’avez pas de limites. On ne vous a pas appris dans votre enfance à savoir dire non et à créer des cloisons qui vous permettraient de laisser passer certaines influences et pas d’autres. Cette tendance est surtout active à l’adolescence mais il arrive qu’elle continue à s’exprimer quand vous êtes adulte.
Alors ce n’est pas forcément le dernier qui a parlé qui a raison, mais les discours que vous entendez, les conseils qu’on peut vous donner, ce que vous voyez à la télévision ou sur vos écrans peut influencer autant vos humeurs que votre point de vue. En réalité on pourrait voir cela d’une manière positive dans la mesure où cela ressemble très fort à de la souplesse psychique, le problème étant que vous êtes trop souple ! Mais entre cette souplesse et la rigidité il y a un juste milieu que vous pouvez trouver.
Christine Haas
22 décembre 2024